Bonjour,
jean.baptiste a écrit:C'est gère plus confus que certain autre projet open-source.
Exact, mais quand il y a que les dévelloppeurs du projet qui le comprenne c'est tout de même un brin curieux.
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Ils développent pour eux-même, voire quelques hypers spécialistes; tout le coté open-source ne sert à rien...
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trop occupés à développer; ils oublient de réaliser une documentations simples et claire.
jean.baptiste a écrit:Faire de l'électronique ou de l'informatique sans l'anglais est une utopie. Personnellement l'anglais n'est pas mon point fort mais j'y suis bien obligé.
À la fois tout à fait d'accord et non : il faut distinguer deux points différents.
Tout ce qui est technique est en anglais, c'est tout à fait exact. Maîtriser l'anglais est donc obligatoire. MAIS tout le monde ne veut pas faire du technique sans mettre les mains très profondément dans le cambouis.
Depuis des (dizaines) années que je suis confronté à des personnes qui recherchent des logiciels techniques -et notamment électroniques- 95 % de ces personnes demandent des logiciels en français.
jean.baptiste a écrit:Quant à la version française, elle n'est pas à l'ordre du jour. Les modifications du programme sont parfois très profonde et la traduction est une charge de travail à ne pas sous-estimer.
Je ne parle pas d'une version française (il y a déjà plusieurs années qu'une version par langue ne se fait plus) : les logiciels sont multilingues. Je parle, plus simplement, d'incorporer / d'ajouter aussi le français au logiciel existant. Là, les programmeurs que je connais font cela très rapidement (exemple : Époxy de Jonathan Zehnne qui, tout simplement, lors du premier lancement, une fenêtre avec un menu déroulant qui vous demande la langue de l'interface : française ou anglaise, il appelle même à des traducteurs pour d'autres langues). Et, ensuite, on peut modifier la langue dans un menu déroulant). Cela ne demande guère de temps; c'est une question de volonté.
Bref, ne pas confondre les 5 % d'hyper spécialistes et, ceux, 95 % de loin beaucoup plus nombreux, qui veulent juste utiliser un logiciel. Restreindre son logiciel à la première petite minorité est un mauvais calcul qui ne reflète pas du tout la demande.
Au premier abord -par formation- les techniciens (dont je suis) ne comprennent pas cela. Faire une super machine à laver (ou n'importe quelle outil, machine..) c'est bien; mais si seuls une infirme minorité peuvent l'utiliser... et non tout ceux qui souhaiterais le faire...
jean.baptiste a écrit:Cependant il serait intéressant de réaliser un petit laïus sur Mactronique IDE.
C'est bien ce que je compte faire; mais il faut que je comprenne moi-même.
jean.baptiste a écrit:Comme je l'ai dit plus haut, je ne développe que Mactronique IDE. Je compile les outils en ligne de commande et je les intègre dans Mactronique IDE. Ce dernier propose à l'utilisateur final de les installer sur son système.
Oui, il faut du prêt à l'emploi. Pas réaliser un jeu de piste ou il faut aller chercher des morceaux, les assembler... Là, les gens vont décrocher.
jean.baptiste a écrit:Avez-vous déjà réalisé des programmes pour PIC avec MPLab ou PicBasic Pro ou C18 (langage C pour les PIC18) ou un autre langage ?
La conception d'un logiciel de programmation : non. C'était un peu le but du projet...
Merci.
À bientôt.
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Lionel